Fonction publique, retraite, pouvoir d’achat, 35h... : la lutte continue
Les salarié-e-s en ont assez de subir. Le pays s’enrichit, mais qui en profite vraiment ? Les grands patrons, les gros actionnaires, les plus riches.
Pour nous, c’est davantage de précarité, moins de protection sociale, moins de services publics, moins de pouvoir d’achat, c’est travailler plus (quand on a un boulot), mais pour gagner quoi ?
Une journée de grève ne suffira pas, mais l’échec de la mobilisation actuelle serait pire encore.
Nous devons retrouver, dans l’unité, le chemin des luttes victorieuses.
L’avenir ne dépend pas des professionnel-le-s de la politique ou du syndicalisme, mais de la détermination de chacun-e d’entre-nous.
Il ne s’agit pas de défendre l’existant, mais d’imposer une véritable relance des services publics et de la protection sociale solidaire.
Pour financer le social, taxons le capital !
Travaillons moins, travaillons mieux, travaillons tou-te-s !