Harcèlement des actrices/eurs du mouvement contre la loi Fillon : un an après, la Droite persiste.
Les récentes et/ou actuelles convocations de lycéens (un an après !) pour "finir les gardes à vue", suite à l’occupation du toit de l’annexe du ministère le 21 avril 2005, montrent une ré-activation de très mauvaise augure de l’instruction des 9 inculpés (dont notre collègue David Prévot). La répression et les condamnations arbitraires pour l’exemple sont la seule réponse active du gouvernement au mouvement social. Il FAUT signer et faire signer la pétition.